Highroad Trip - RP avec le groupe de Nick Sax

Joe :


Devant vous, vous pouvez apercevoir, malgré la pluie battante les silhouettes de trois personne.

Avec plus d'attention,il vous semble apercevoir un homme et deux femmes, l'homme semble en forme, les femmes moins. L'une d'elle se tient debout, droite comme un "I", silencieuse.
La deuxième semble malade, elle est allongée sur le sol, hurle parfois à la mort des paroles qui vous échappent alors que l'homme semble essayer de la calmer.


Nick Sax :


Roro a été les premiers a les apercevoir. Nick ne voyait pas grand chose, sa vue n'était pas celle d'il y a 10 ans et cette pluie n'était pas la pour l'aider. Il entendait les râles d'un individu, impossible de savoir si ils provenaient d'un homme ou d'une femme. Il fit mine de voir le groupe, pris la radio et lança un appel au campement de clodos qui semblait se trouver devant lui! La voix était posée, mais semblait bien abîmée. Comme si un motoculteur avait labouré la trachée du pauvre Nick et que ce dernier avait soignée ça a l'eau de javel. Un accent italien vient lier chaque mots du survivant. Accent qui semble surfait.

- "Ici Nick... Vous devez sourment être lé campement a l'Est dé notre position. Jé né sais pas si les trou dé coul qui ont monté oune cabane près des marais étaient avec vous. Mais il y a eu oun malentendu entré nous. On s'éxcouse d'avance si ces imbéciles, fragiles comme oune écorce d’eucalyptous étaient vos amis !  Vu lé nombre dé macchabées dans lé coin il doit y avoir oune groupe dé fils dé poutes qui traîne! "​​​​​​​

Un silence conscient ou un trou de mémoire imprévu.. qui sait

-"Et vous? vous êtes quel genre dé fils dé poutes??? car mes amis... Ils n'aiment pas trop ça les fils dé poutes!"


Rosannal :


La troupe de zombies se rapproche. Ils errent ensembles dans la même direction, avançant de façon désarticulée.
Il n'y en a qu'un qui semble plus vif, un petit bonhomme noir. On dirait un berger qui guide ses moutons, tapotant des mains, flattant la groupe des bêtes... Sauf qu'il s'agit d'êtres humains jusqu'à preuve du contraire.
Sous la pluie battante, on le voit alpaguer et tourner autour d'une autre âme-en-peine qui semble intéressée par ses gesticulations puisqu'elle se laisse emmener par le courant. Ils sont à deux pas. Mais la météo va les empêcher d'atteindre le campement du trio avant le lendemain.


Pénélope :


Pénélope s’arrêta à bonne distance du bordel, releva ses lunettes de soudeur et lâcha un discret juron.

​​​​​Des tarés, elle en avait vu un paquet. Et ça lui filait la migraine. Les derniers en date se balançaient au bout d'une corde à quelques lieux d'ici.
Elle avaient trop pris de drogue et trop fait de massacres ces derniers temps. Sous l'adrénaline, elle avait même failli violer son tamagotchi, chose impensable pour elle en temps normal.

Elle s'approcha de la femme "droite comme un i".
Elle la toisa un long moment, tentant de déceler une lueur de vie dans ses yeux vides.

- " Mouais....Vous avez l'air marrant."


HRP : Offre 0.5 poudre de cire à Joe


Joe :


Joe était mal en point depuis plusieurs lunes maintenant, Khemri l'avait récupérée dans les montagne gerbant tout ce qu'elle pouvait. Son visage était marqué par un manque de nutrition, des cernes gonflaient d'une teinte violacée le regard de la brune, le reste de son visage était pâle et elle tremblait de tout son corps.


Lorsque Pénélope lui fit ingérer la cire rien ne se passa dans un premier temps, puis soudainement ses yeux retrouvèrent un éclat plus important, lorsqu'elle reprît conscience elle faisait face à Pénélope et Joe se mit à parler d'une voix faible, éraillée par une vie d'excès, un sourire se dessinant sur son visage.



"Putain si on m'avait dit que le paradis existait vraiment j'aurais pas pu espérer mieux."


Elle tend un bras pour toucher le visage de celle qui venait peut être de la sauver. Puis soudain elle commença à s'affoler cherchant autour d'elle comme inquiète.


"Khemri… merde Khemri ! Putain j'ai fais quoi ? je suis où là ? Vous êtes qui vous ?"


La junkie semblait soudain paniquée en découvrant le groupe imposant qui lui faisait face s'agitant au sol dans des mouvements dissolus.

John Walton Gacy :


John était à la traîne et s'en battait les couilles de presque tout. Parfois il sortait sa queue et faisait l'hélicobite pour faire chier Alycia. Et cette fois encore, défoncé et sale, le redneck poussa un gros rot bruyant avant de se rendre compte des nouveaux.



Derechef, il s'avança vers Joe (entre camés alcooliques on se reconnait) et en profita pour lui effleurer un téton.



Tu m'plaît, toi. J'te baiserais bien.



Il resta là à la mater comme un gros porc et cracha un glaire au sol avant de toucher ses petites poignets d'amour.

Joe était épuisée, la cire lui avait remis les idées en place mais son corps était lessivé et n'arrivait pas à suivre la cadence de son esprit. Quand John commença à la tripoter elle aurait rêver lui mettre un grand coup dans les parties, mais elle n'y arrivait pas.



S'éloignant comme elle pouvait, mais ne pouvant échapper aux mains baladeuses du nain Joe s'arma d'un gros glaviot bien dégueulasse qu'elle lança d'un souffle tendu dans la tronche de Gacy. Après elle lança à l'assemblée de sa voix affaiblie.


"Putain un nain excité du slibard, je suis encore en train de délirer ou quoi ! Vous êtes qui vous ? Khemri ? Khemri t'es où putain ?"


Quand elle vit le barbu, ce dernier ne semblait pas en super forme, la lueur dans ses yeux semblait s'éteindre, semblable aux nombreux baveux qui les entouraient.
Elle reporta son attention vers John.


"Toi si tu essayes d'approcher ta queue de mon corps je te jure je la coupe avec mes dents avant de te l'enfoncer dans ton petit cul d'enculer."



Joe reprenait petit à petit conscience, sa verbe habituelle reprenait le devant même si son corps était loin d'être capable de suivre la cadence.

Pénélope :


Pénélope regarda Joe d'un air interrogateur.

-"Ça va mieux là haut ?"

Elle fit quelques pas en rond, songeuse, marcha dans un truc peu identifiable, puis racla consciencieusement sa chaussure sur un rocher proche.
Ce faisant, elle réfléchissait tout haut.

-"Vous êtes quand même sacrément bizarres. Vous êtes tout les trois, à moitié défoncés, seul dans le désert, loin de tout...
Vous venez d'où comme ça ? Et vous allez où ?"

Alycia :


Comme a son habitude Alycia restait fermait la marche, elle préférait toujours avoir John en visu au cas où celui-ci tenterai quelque chose. Mais malheureusement pour la jeune femme ce dernier avait bien compris qu'il pouvait "agir" même à distance et malgré les tentatives de la brunes pour réagir le moins possible il ne se lassait jamais...


Alors quand cette droguée remit en place John, Alycia sut qu'elle allait adorer cette dernière et laissa filer un fou rire.

Nick Sax :


Nick était installé a l'écart et suivait la scène avec un certain désarroi! John semblait avoir oublié les béaba de la politesse... sûrement que cela ne lui a jamais été appris. A le voir gesticuler dans tous les sens, la bite a l'air, une main baladeuse sur sa victime, il avait tout de l’obsédé frustré. Nick soupir, avance vers John et claque une main sur la bite du tripoteur en lui faisant signe de la ranger et de s'éloigner et se penche au dessus de Joe.


Salut, Moi c'est Nick! ça n'a pas l'air dé être la grande forme !


Il tend un instant ça main en direction de Joe, avant de l'essuyer... On n'est jamais trop prudent, on  ne saura jamais dans qui ou dans quoi la bite de John a traînée. Il ne faudrait pas qu'un banal herpes condamne définitivement la voyageuse ! Il lui tend l'autre main, afin de l'aider a se relever.


Tou né devrais pas rester la, par terre. Tu as dé la chance qué ce soit John qui c'est approché dé toi et tes petits tétons, il a pris ça pour oune appel au viol! d'autres n'auraient pas hésiter a vous dépouiller! vaut mieux un trou dé coul défoncé qué les tripes a l'air !


Il regarde d'un coup d’œil le contenu du sac de la camée.


Vous allez ou avec toute cette marchandise?

Joe :


Joe reste un moment méfiante lorsqu'un deuxième gus s'approche d'elle, finalement elle attrape péniblement la main de Nick et se relève dans un effort navrant.


Elle pose définitivement son regard sur Khemriskhara comprenant que dans son voyage vers d'autres sphères ce dernier avait été le plus touché, après l'avoir aidé dans leur solitude le voilà qui disparaissait petit à petit du monde des vivants. La tristesse s'afficha sur le visage de la junkie.


Pour ne rien laisser paraître elle rapprocha la travois et l'ensemble de leur merdier constatant avec regret la quantité négligeable de vivres à disposition.


Elle répondit alors à Nick toujours de sa voix faiblarde.


"On doit livrer ça à des gars, aux gens du Sac, une communauté au Nord que j'ai bâtit avec ce barbu il y a ce qui pourrait ressembler à une vie.
Mais pour…
…pour y arriver on va devoir essayer de trouver de quoi survivre, et je ne suis pas super douée pour ça."


Elle se met alors à fouiller dans le sac.


"Je vous propose donc, avant de vous remercier et de reprendre la route, de faire du troc, si vous voulez bien ?"


Elle montre au groupe une boite avec des munitions, 2KG de munitions .45 ACP, 3KG de munitions .22LR et 5 KG d'opium.


"C'est du bon, je dois bien l'avouer, faut juste pas en abuser. On aurait besoin de médicaments, 6 Kg si possible, et si vous avez n peu plus de ce genre de cire que vous m'avez donné c'est bien."


Elle voit alors, dépassant d'une besace des feuilles de coca, elle ne peut s'empêcher de rajouter en le pointant du doigt.


"Un peu de ça ne serait pas de refus non plus, j'avoue."


La camée sortait tout juste du plus gros bad trip de sa vie mais bavait déjà en voyant un nouveau stupéfiant.

John Walton Gacy :



  Elle lui résistait ! John n'en bandait que plus dur tout en jouant avec les petits tétons de Joe. Et il exulta de joie lorsqu'elle lui cracha à la gueule. De l'une de ses mains, il amena le cracha à sa bouche tout en la fixant de ses yeux de fils de pute. En temps normal, il lui aurait envoyé un gros coup de boule dans sa tête de salope avant de l'enculer.



   Mais Nick arriva, lui donnant une petite tape sur la queue et lui faisant signe de s'éloigner. Avec un air faussement innocent, John envoya un :


   Ben quoi... on fait juste connaissance...



   Et il s'éloigna en rangeant sa queue tout en envoyant un crachat aux pieds d'Alycia qui s'était tapé un fou-rire.



   Sois pas jalouse, ma salope. Je finirai bien par trouver le chemin de ton petit trou-du-cul.



   Le reste, il en avait rien à foutre. Mais bientôt, bientôt il ferait LA rencontre qui bouleverserait sa vie.


Rosannal :


   Rosannal, quant à lui, garde innocemment ses protégés zombifiés. L'homme a visiblement une santé mentale déclinante, entouré par des morts en sursis en permanence. Il a sur le visage des traces de cendres étalées sur les joues. Vivant ! ça il l'est : il papote sans cesse, notamment avec le dénommé "Bjééé" dont la zombinite a atteint les capacités mentales mais qui semble plus présent que les autres baveux.
   Il n'est pas dans le cosmos pour autant. Quand Joe commence à négocier les vivres du groupe, une lueur amusée s'allume dans son regard.


   C'est amusant comme on chiffre vite ici, vous avez le sens du commerce vous héhé !
   Bonjour ! je suis Rosannal.
   Ne portez pas ombrage des frasques de Monsieur Gacy...


   Il rajoute, pour Alycia également...


   Lors de notre première rencontre il disait combien il appréciait peu les nègres d'habitude. Mais... Pour l'instant je ne me suis pas éveillé sur une croix en feu. Il faut voir les choses biens là où elles se trouvent je pense ! hm ?

John Walton Gacy :


John, en retrait, revint à la charge. Bite rangée cette fois. Et il affichait un sourire sadique sur sa sale gueule. Il s'adressa derechef à Joe, ignorant les deux autres clochards de son groupe de pédés.


EH SALE PUTE ! SI JE VEUX TE FOURRER, JE TE FOURRE ! SI JE VEUX TE FOURRER JUSQU'À CE QUE TU CRÈVES, JE LE FAIS ! ET SI JE VEUX QUE TU DEVIENNES MON RÉSERVOIR PERSONNEL À FOUTRE, IL EN SERA AINSI !!!


Il se rapprocha encore un peu et poursuivit, plein de haine.


Là ? J'ai envie de te baiser salement. Tes affaires ? Elles nous appartiennent déjà donc tire une crois dessus. La seule question, c'est... est-ce que je vais te laisser vivre ou non.



Tu crois que t'es qui pour faire la maligne comme ça ? Tu penses qu'on est une joyeuse bande de boyscouts ?



Il gueula, fou de rage tout en regardant Nick.




NOUS SOMMES LES REDNECKS PUTAINS DE VOS RACES !!! ET ON PRENDS CE QU'ON VEUT ! ON VIOLE QUI NOUS CHANTE ET ON TUE SANS SOMMATIONS !!!!!!